«Grès et Marnes Gris à Gypse» (GMGG)
Retour à «Marnes bariolées s.str.»Représentation et statut
- Index
- o3y
- Couleur CMYK
- (0%,15%,35%,22%)
- Couleur RGB
- R: 200 G: 170 B: 130
- Rang
- Formation lithostratigraphique
- Usage
- Ce terme est en usage.
- Status
- terme informel
- Discussion du statut
-
Proposition de formalisation: Fm. d'Epautheyres ?
Nomenclature
- Deutsch
- «Grès et Marnes Gris à Gypse» (GMGG)
- Français
- «Grès et Marnes Gris à Gypse» (GMGG)
- Italiano
- «Grès et Marnes Gris à Gypse» (GMGG)
- English
- «Grès et Marnes Gris à Gypse» (GMGG)
- Origine du nom
-
Le Buron et ruisseau de Valleyres à Epautheyres (VD)
- Variantes historiques
-
Gyps (de Razoumowsky 1789 p.152), molasse à gypse de la Paudèze (Zollikofer 1853), Molasse à Gypse (Maillard 1880, Paréjas 1938), Grès et marnes à Gypse de Grandson, d'Essertines, etc. (Favre & Schardt 1887p.231), Marnes à gypse (de Girard 1901), Marnes gypsiferes, Blaugraue Mergel mit Gips- und Kalkbänken mit Chara (Heim & Hartmann 1919), Couches à Helix Ramondi et Grès et marnes à Gypse (Custer 1928 S.34), Zone der grauen, gipsführenden Mergel (Lagotala 1937), Graue Mergel mit Gips (Althaus 1947 S.12), Serie der Gipsmergel (Jordi 1951 S.7, Jordi 1955 S.44), Zone des marnes gypsiferes inférieures et supérieures (Vernet 1956 p.198), Süsswasserkalk-Gipsmergel-Serie = Süsswasserkalk-Anhydrit-Serie (Lemcke 1959), Marnes et grès gypsifères (Vernet 1972), Marnes grises à gypse (Rigassi 1957, Hugueney & Kissling 1972 p.57), Grès et marnes gris à gypse (Kissling 1974 p.57, Berger et al. 1986, Weidmann 1988, Mojon et al. 2018), Brack- und Süsswassermolasse (Schlanke et al. 1978 S.415), "Chattien" supérieur (Berger et al. 1986), Molasse grise à gypse (Jenny et al. 1995), Marnes et grès gris à gypse (Charollais et al. 1998), Gypsum marls (Berger et al. 2010), Grès et Marnes gris à gypse (Charollais et al. 2013)
- Remarques nomenclatoriales
-
Chattien supérieur auct., Marnes et grès auct.
Description
- Description
-
Grès fins surtout marneux et marnes silteuses, toujours bien lités, de teinte générale grise; gypse courant, en rosettes ou fibreux, en lentilles et veines secondaires; quelques minces bancs de calcaire lacustre, quelques filonnets de charbon ont été signalés. Le spectre des minéraux lourds (coupe de la Sorge, moyenne de 5 échantillons) comprend: 27% apatite, 3% zircon, 4% tourmaline, 0,5% spinelle et 0,5% staurotide (en outre 18% grenat), ce spectre se rattache à la «Genfersee-Schüttung» (Mauer 1983, p.42 et données inédites).
Les fossiles sont abondants: - charophytes, fruits, graines, fragments de feuilles indéterminées, - mollusques d'eau douce (Limnées, Planorbes, Unios) et rares mollusques saumâtres (Cyrènes et «Potamides»), ostracodes lacustres et saumâtres, poissons d'eau douce, crocodiles; tortues et mammifères sont rares sur la feuille Lausanne.
- Épaisseur
- 60-70 m au SE de la plaine de l'Orbe (Jordi 1955), 153 m dans le forage de Cuarny (121 m sans les calcaires d'eau douce et dolomie), au moins 173 m dans la Morges (Vernet 1956), environ 235 m dans le forage Romanens-I (Maurer & Nabholz 1980), 291 m dans le forage de Thônex (Jenny et al. 1995), max. 200-300 m (Kissling 1974).
Composants
- gypse
- cérithoïdés
- poissons
- cyrènidés
- mammifères
- charophytes
- ostracodes
Espèces saumâtres, lacustres et terrestres: Charophytes, Mollusques, Poissons + Hemicyprideis genavensis (Berger et al. 1986)
Hiérarchie et succession
- Unité hiérarchiquement supérieure
- Unités sus-jacentes
- Unités sous-jacentes
- Discussion stratigraphique
-
Les «Marnes grises à gypse» (Rigassi 1967 p.22) et la «Graue Süsswassermolasse» (Heim & Hartmann 1919 S.34) comprennent également les «Calcaires d'eau douce et dolomie», resp. la «Serie der Gipsmergel und die liegende Serie der Süsswasserkalke und Dolomite».
Âge
- Âge au sommet
-
- Aquitanien précoce
- Note sur le sommet
-
Atteint la base de l'Aquitanien à Boudry (niveau MN1: Mojon et al. 1985, Engesser & Mödden 1997). Niveau de Boudry 2 = base de l'Agénien (Angelillo 1987).
- Âge à la base
-
- Chattien tardif
- Note sur la base
-
zone à Chara notata ou biozone de Küttigen = Oligocène terminal (Angelillo 1987, Donzeau et al. 1997); les calcaires et dolomies de la base débutent dans la biozone à Stephanochara ungeri (Berger et al. 1986)
- Méthode de datation
-
Charophytes de la zone à Chara notata et probablement aussi de la zone à Nitida (Berger 1986). Mammifères du niveau de Küttigen (Engesser & Mayo 1987) au niveau de Boudry-1 (Arn et al. 2005), c'est-à-dire du sommet de l'Oligocène supérieur (zones MP29 à MN1).
Géographie
- Extension géographique
- Ensemble de la Suisse occidentale (région genevoise et France voisine, vallons du Talent et de la Morges, plaine de l'Orbe et région d'Yverdon, région neuchâteloise jusqu'à Boudry) jusqu'au NE de Berne (Bohrungen Tschugg-1 et Ruppoldsried-I, Schlanke et al. 1978). Les influences saumâtres au sein de l'USM sont donc limitées à la partie sud-occidentale de la Molasse du Plateau.
- Région-type
- région d'Yverdon (VD)
- Localité-type
-
-
Ruisseau d'Epautheyres (VD)
Particularités du site- typische Fazies
- (2539250 / 1177190)
- <p>Ruisseau au nord du village éponyme (4 km au S d'Yverdon): Jordi 1951 pl.IV profil 20 (voir aussi fig.12 et pl.IV profil 16)</p>
-
Ruisseau d'Epautheyres (VD)
- Point of interest
-
-
Nant d'Avanchet (GE)
Particularités du site- typische Fazies
- Bachprofil
- (2496450 / 1119170)
- Angelillo 1987
-
Nant d'Avanchet (GE)
Paléogéographie et tectonique
-
- USM-I
- Type de protolithe
-
- sédimentaire
- Conditions de formation
-
Les milieux de dépôt indiqués tant par la lithologie et les structures sédimentaires que par les fossiles (mollusques, ostracodes) sont essentiellement lacustres peu profonds et parfois palustres; des influences saumâtres temporaires sont fréquentes (Jordi 1955, Rigassi 1957, Berger et al. 1986, Weidmann 1988).
- Métamorphisme
- non métamorphique
Références
- Définition
-
1951) :
Zur Stratigraphie und Tektonik der Molasse von Yverdon. Bull. Ver. Schweizer. Petrol.-Geol. u. Ing. 18/55, 1-14
(
"Diese Schichtserie im Hangenden der Süsswasserkalk-und Dolomit-Serie unterscheidet sich von der Molasse rouge durch das Fehlen der roten Mergel und Tone. Die vorherrschend grauen, sandigen und gelbgrauen, tonigen Mergel geben ihr ein monotones Aussehen. Eingelagert sind 3-4 m dicke Sandsteinbänke. Die Serie wird durch vereinzelte dünne Süsswasserkalkbänke, dunkle, bituminöse Stinkmergel und schwarze, kohlig-sandige Horizonte unterbrochen. Ein Hauptmerkmal ist jedoch der Gips, der als Fasergipsplatten und -linsen auf Schicht- und Kluftflächen, oder als rosettenartige Ausscheidungen in Mergeln und Sandsteinen auftreten kann." (Jordi 1951 S.7)
- Révision
-
1987) :
Schweizerisches Mittelland (Molasse). Internationales Stratigraphisches Lexikon Vol.1 Fasc.7b
GRÈS ET MARNES GRIS A GYPSE
USM ; «Oberes Chattien» und «Unteres Aquitanien»
Kissling, D. (1974): L'Oligocène de l'extremite occidentale du bassin molassique suisse. Stratigraphie et aper$u sédimentologique. - These Univ. Fribourg, p.57.
Mit diesem Ausdruck bezeichnet der Autor die zwischen den >>> Calcaires d'eau douce et dolomie und der Zone des grès du Moulin de Clarmont (>>>) gelegenen Schichten des «Chattien supérieur» der neueren Molasse-Literatur.
Synonyma: Grès et marnes à Gypse de Grandson, d'Essertines, etc. Favre & Schardt 1887; Marnes gypsiferes - Couches à Helix Ramondi - Grès et marnes à gypse Custer 1928: 34 (= Älterer Abschnitt von Custer's Schichtgruppe 4); >>> Serie der «Gipsmergel» (Chattien) Jordi 1951: 7; >>> Brack- und Süsswassermolasse Schlanke et al. 1978: 415.
Typlokalität und Typusprofil: vgl. >>> Serie der «Gipsmergel».
Lithologie: Vgl. >>> Serie der «Gipsmergel». Von Interesse ist die Feststellung Kissling's, dass sowohl im untersten als auch im obersten Teil vermehrt dünne Einschaltungen von Süsswasserkalk auftreten (1974: 59). Dies ist auch aus Jordi (1955: Tf. III, Profil «Mitte» und Profil «rechts») klar ersichtlich; zudem ist diesen beiden detaillierten Profilen zu entnehmen, dass Gips auf den mittlerern ca. 37 m mächtigen Abschnitt der ca. 70 m mächtigen Folge beschränkt ist. Aus diesen Profilen geht ferner hervor, dass an Stelle bunter Mergel (die noch in der liegenden >>> Süsswasserkalk-Gipsmergelserie auftreten) durchwegs graue und grüne Mergel treten. Erst
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im obersten Teil gibt es wieder Ansätze zu bunten Mergeln. Jordi (Tf.III) betont die zyklische Gliederung: Gipsmergel und Gipssandsteine gehen oft nach oben in seekreide-artige Ablagerungen über. Dünne, kohlige Horizonte sind im mittleren Abschnitt in den Zyklothemen eingeschaltet. Gegen NE hin scheint die Gipsführung auf das Jurafussgebiet beschränkt zu sein: Nordöstlichster Aufschluss mit viel Gips ist Boudry La Fabrique (LK-Bl.1164 Neuchâtel, Koord. 553.700/200.410, Detailprofil bei Frei 1925: 57 und Kissling 1974: PL 20), nordöstlichste Bohrung mit beträchtlichem Gipsanteil ist Tschugg l (LK-Bl.1145 Bieler See, Koord. 572.610/207.910, Schlanke et al. 1978: 414). Dagegen tritt Gips in der Bohrung Ruppoldsried l (LK-Bl.1146 Lyss, Koord. 599.450/215.600, idem. p.415) nur noch sporadisch und in Spuren auf, ebenso in der noch etwas mehr alpenwärts gelegenen Bohrung Courtion l (LK-Bl.1185 Fribourg, Koord. 572.410/189.420, Favini 1970, Maurer 1983). Von den noch näher bei den Alpen gelegenen Bohrungen Linden l (LK-Bl.1187 Münsingen, Koord. 617.740/188.567, Maurer et al. 1978), Sorens l (LK-Bl.1225 Gruyères, Koord. 568.470/169.180, Favini 1970: 37 und Maurer 1983) und Romanens l (LK-Bl.1224 Moudon, Koord. 564.200/167.420, Maurer & Nabholz 1980) wird kein Gips erwähnt; in der letztgenannten Bohrung wird die Folge «Grès et marnes gris» genannt.
Mächtigkeit und stratigraphischer Verband: Vgl. >>> Serie der «Gipsmergel». Die dort erwähnte alpenwärtige Mächtigkeitszunahme ist durch die Aufschlüsse an der Morges belegt, wo die Mächtigkeit nach Vernet 1956:196 mindestens 173 m beträgt, ferner durch die Bohrungen Chapelle, Courtion, Romanens, Sorens und Linden. Bei diesen Bohrungen zeigt sich allerdings die Schwierigkeit der Korrelation vom distalen zum proximalen Bereich mit ihren Fazieswechseln, die zu etwas unterschiedlichen Ansichten über Mächtigkeit und genaue Tiefenlage des «Chattien supérieur» geführt hat.
Dies erhellt aus den publizierten Daten der Bohrungen Chapelle, Courtion und Sorens. So wird das «Chattien supérieur» von Chapelle l (LK-Bl. 1223, Koord. 547.306/168.359) nach dem Schwermineralspektrum auf 170 m Mächtigkeit geschätzt (Bohrtiefe ca. 850 m bis ca. 1020 m, Maurer 1983), während die «Série gypseuse» (Rigassi, 1977) von ca. 760 m bis ca. 1050 m reicht. Ähnlich in Courtion l: «Chattien supérieur» nach Schwermineralien von 600 m bis 850 m, nach Rigassi (1977) von ca. 675 m bis ca. 900 m. Ursprünglich war hier als «Chattien supérieur» eine Folge zwischen 780 m und 1193 m Bohrtiefe angenommen worden (Maurer 1983). In Sorens l war das «Chattien supérieur» ursprünglich zwischen 1310 m und 1786 m fixiert (Favini 1970: 37), nach Schwermineralien liegt es zwischen 1480 m und 1830 m, während das «Chattien supérieur» aufgrund der Gammaray log-Korrelation mit Courtion l in ca. 1890 bis ca. 2220 m Tiefe liegt (Rigassi 1977).
Verbreitung, Fazies und Paläogeographie: vgl. Abschnitt «Lithologie» und >>> Serie der «Gipsmergel». Hier ist nochmals festzuhalten, dass der stärkste, durch Gipsführung und lokal durch Fossilien («Cyrenen», Cerithien, Ostrakoden) belegte brackische Einschlag auf die subjurassische Molasse der Westschweiz beschränkt ist, dass Spuren brackischen Ablagerungsmilieus nach E hin nicht über das Bernische Mittelland hinausreichen und dass brackische Einschaltungen ausser im südlichen Kanton Waadt (>>> Molasse à charbon; Charbon à Lignites) die subalpine Molasse nicht erreichen.
(...)
Literatur: Bersier 1952: Karte; Custer 1928:34; Favini 1970: 37; Favre& Schardt 1887:231; Frei 1925: 56, 57; Gorin 1975b: 70,72; Hochuli 1978:4,15, 30; Hugueney & Kissling 1972: 63, 64; Hürzeler 1940: 191, 1945: 660; Kataster d. Fundorte fossiler Säugetiere im Naturhistorischen Museum Basel; Jordi 1951: 7, 1955: 51-53, Tf.III; Kissling 1974: 57-65, Fig. 26-31, PL 19-27,29; Leriche 1927; Maurer 1983; Maurer & Nabholz 1980; Oertli 1956: 54-59, 66; Parejas 1934: 316, 1938a: Karte; Rigassi 1957: 22-24, 1977: 18, Fig.9; Schlanke et al. 1978; 414, 415; Vernet 1956: 196, 198, 1972: Karte: Weitere Literatur unter «Serie der «Gipsmergel» (Chattien).
(
Matériel et divers
-
Grès de St-Sulpice
- Name Origin
- Rang
- unité lithostratigraphique
- Statut
- terme local (informel)
- En bref
-
Niveau de grès oolithique à gastéropodes (Cérithes) situé à proximité de la limite USM-I/USM-II dans la région lausannoise.
-
«Marnes à gypse supérieures» (de l'USM)
- Rang
- unité lithostratigraphique
- Statut
- terme incorrect (abandonné)
- En bref
-
Partie supérieure des «Grès et Marnes Gris à Gypse» (au-dessus de l'horizon repère des Couches de Tillerée), plus pauvre en gypse.
-
Couches de Tillerée
- Name Origin
-
Tillerée / Ruisseau de la Mottaz (VD), 1 km S Ependes
- Rang
- Banc lithostratigraphique
- Statut
- terme local (informel)
- En bref
-
Horizon repère sombre d'extension locale constitué de marnes argileuses, charbonneuses ou silteuses, avec pyrite finement dispersée et abondants mollusques d'eau douce. Il sépare les Grès et Marnes Gris à Gypse en deux niveaux gypso-marneux, l'inférieur étant plus riche en gypse.
-
«Marnes à gypse inférieures» (de l'USM)
- Rang
- unité lithostratigraphique
- Statut
- terme incorrect (mais utilisé de manière informelle)
- En bref
-
Partie médiane des «Grès et Marnes Gris à Gypse» (entre la «Série des calcaires d'eau douce et dolomie» et l'horizon repère des Couches de Tillerée), relativement riche en gypse.
- Age
- Chattien tardif
-
Grès de Belmont
- Name Origin
- Rang
- Banc lithostratigraphique
- Statut
- terme local (informel)
- En bref
-
Grès à éléments gypseux situé dans la partie inférieure des Grès et Marnes Gris à Gypse, sous les Couches de Tillerée.
- Age
- Chattien tardif
-
Série des calcaires d'eau douce et dolomie (CEDD)
- Name Origin
-
Côtes de Chalamont à Essert-Pittet (VD)
- Rang
- Membre lithostratigraphique (Sous-formation)
- Statut
- terme incorrect (mais utilisé de manière informelle)
- Nomenclatorial Remarks
- <p>Chattien moyen auct. (Berger et al. 2013)</p>
- En bref
-
Episode lacustre intercalé entre la Molasse Rouge et les Grès et Marnes Gris à Gypse dans le Gros-de-Vaud: série de calcaires d'eau douce de teinte claire, plus ou moins dolomitisés.
- Age
- Chattien tardif
-
Couches à cyrènes du Moulin d'Eclagnens
- Name Origin
- Rang
- unité lithostratigraphique
- Statut
- terme informel
- En bref
-
Niveau à Cyrènes du «Chattien inférieur» du Talent.
- Age
- frühes Chattien
-
Calcaire d'eau douce de Sous-Vélaz
- Name Origin
-
Sous-Vélaz (VD), le long du Talent à l'ouest d'Eclagnens
- Rang
- Banc lithostratigraphique
- Statut
- terme local (informel)
- En bref
- Bancs de calcaire d'eau douce à Chara et Ostracodes intercalés dans des marnes grises du «Chattien inférieur» du Talent.