«Epiastartien»

Representation and status

Color CMYK
N/A
Color RGB
R: 125 G: 125 B: 125
Rank
lithostratigraphic unit
Validity
Unit is in Use
Status
obsolete term (disused)
Status discussion

Nomenclature

Deutsch
«Epiastartien»
Français
«Epiastartien»
Italiano
«Epiastartiano»
English
«Epiastartian»
Origin of the Name

Partie supérieure de l'Astartien.

Historical Variants

Epiastartien (Thurmann & Etallon 1861-1864, Waibel & Burri 1961), Astartien supérieur (Rollier 1882)

Components

Fossil Content
  • nerineans
  • brachiopods
  • bivalves

Nerinea bruntrutana Thurmann, Terebratula (Zeilleria) humeralis Roemer

Hierarchy and sequence

Units at roof
Upper boundary

Kimméridgien

Lower boundary

Unteres Séquanien

Geography

Geographical extent
Sites fossilifères: Petit Fahy, carrières de Bellevue et d'Ermont (= Hermont).
Type area
Région de Porrentruy (JU)
Point of interest

Palaenography and tectonic

  • Malm
Tectonic unit (resp. main category)
Kind of protolith
  • sedimentary
Metamorphism
non metamorphic

References

Definition
Thurmann Jules, Etallon A. (1861) : Lethea Bruntrutana ou Etudes paléontologiques et stratigraphiques sur le Jura bernois et en particulier les environs de Porrentruy. Oeuvre posthume terminée et publiée par A. ETALLON. Nouv. Mém. Soc. Helv. Sc. nat. 18-20

Ensemble puissant de calcaires blanchâtres ou blancs purs, régulièrement stratifiés, en bancs assez épais, séparés en deux parties par une zone de marnes grisâtres.

Epiastartien supérieur (zone 14 et 15): la partie supérieure possède une légère teinte, tandis que le blanc pur domine dans la zone 15; cette dernière couleur est un des caractères les plus constants et les plus répandus qui les font reconnaître.

Variétés:

• Zone 14. Calcaires compacts stériles; calcaires compacts à Nerinea bruntrutana THURM.

• Zone 15. Calcaires blancs stériles; calcaires blancs à Nerinea gosae ROEM.; calcaires oolithiques.

Faune polygène, mésomorphe, assez riche; individus dissémines, plus nombreux par places et alors subsociaux; Acéphales prédominants, les Pleuroconques comme espèces; Gastropodes représentés par quelques Nérinées de determination difficile, les autres classes comme nulles.

Base de l'Epiastartien supérieur et Epiastartien moyen (zone 16 et 17): Massif assez épais, presque stérile, se délitant facilement, de plus en plus teinté et plus marneux, vers les parties inférieures; enfin une zone marneuse grisâtre, ou plus solide, grumeleuse, avec fossiles assez nombreux, et formant lumachelles par places.

Variétés:

• Zone 16. Calcaires stériles; calcaires à Pinna granulata SOW.; calcaires bréchiformes à Mytilus perplicatus ET. Faune oligocène, pauci-spécifique, pauci-individuelle, mésomorphe; Acéphales prédominants comme genres, les Brachiopodes comme individus, les autres classes comme nulles; individus disséminés, si ce n'est les Ostrea, Terebratula; faune de la partie marneuse assez continue et uniforme, toujours peu riche.

Epiastartien inférieur (zone 18): Massif calcaire assez puissant, en bancs plus épais, a teinte générale grisâtre, avec interpositions marneuses, liées aux calcaires et subschisteuses.

Faune très pauvre en espèces comme en individus; quelques formes cependant subsociales et par suite formant de petits centres disséminés; Acéphales prédominants, les autres classes comme nulles, ou très faiblement representées ou encore offrant des individus de difficile détermination.

Definition
Waibel A., Burri F. (1961) : Jura et fossé rhénan - Juragebirge und Rheintalgraben Internat. Strati. Lexikon - Lexique Strati. Internat. I/7a, 314

Epiastartien (Malm-Séquanien)

J. THURMANN & A. ETALLON (1861-64): Lethea Bruntrutana ou études paléontologiques et stratigraphiques sur le Jura bernois et en particulier les environs de Porrentruy. Œuvre posthume, terminée et publiée par A. ETALLON. Nouv. Mém. Soc. helvét. Sc. nat. XVIII-XX: 57-62.

«Ensemble puissant de calcaires blanchâtres ou blancs purs, régulièrement stratifiés, en bancs assez épais, séparés en deux parties par une zone de marnes grisâtres. Epiastartien supérieur (zone 14 et 15): la partie supérieure possède une légère teinte, tandis que le blanc pur domine dans la zone 15; cette dernière couleur est un des caractères les plus constants et les plus répandus qui les font reconnaître. Variétés: • Zone 14. Calcaires compacts stériles; calcaires compacts à Nerinea bruntrutana THURM. • Zone 15. Calcaires blancs stériles; calcaires blancs à Nerinea gosae ROEM.; calcaires oolithiques. Faune polygène, mésomorphe, assez riche; individus dissémines, plus nombreux par places et alors subsociaux; Acéphales prédominants, les Pleuroconques comme espèces; Gastropodes représentés par quelques Nérinées de determination difficile, les autres classes comme nulles. Base de l'Epiastartien supérieur et Epiastartien moyen (zone 16 et 17): Massif assez épais, presque stérile, se délitant facilement, de plus en plus teinté et plus marneux, vers les parties inférieures; enfin une zone marneuse grisâtre, ou plus solide, grumeleuse, avec fossiles assez nombreux, et formant lumachelles par places. Variétés: • Zone 16. Calcaires stériles; calcaires à Pinna granulata SOW.; calcaires bréchiformes à Mytilus perplicatus ET. Faune oligocène, pauci-spécifique, pauci-individuelle, mésomorphe; Acéphales prédominants comme genres, les Brachiopodes comme individus, les autres classes comme nulles; individus disséminés, si ce n'est les Ostrea, Terebratula; faune de la partie marneuse assez continue et uniforme, toujours peu riche. Epiastartien inférieur (zone 18): Massif calcaire assez puissant, en bancs plus épais, a teinte générale grisâtre, avec interpositions marneuses, liées aux calcaires et subschisteuses. Faune très pauvre en espèces comme en individus; quelques formes cependant subsociales et par suite formant de petits centres disséminés; Acéphales prédominants, les autres classes comme nulles, ou très faiblement representées ou encore offrant des individus de difficile détermination.» Das untere Epiastartien, das 28 m mächtig ist, umfasst die Zone 18 von J. THURMANN und ist gekennzeichnet durch das häufige Auftreten von Terebratula, (Zeilleria) humeralis ROEM.; diese Ablagerungen werden in andern Teilen des Schweizerjura, wo das Séquanien ebenfalls in rauracischer Fazies entwickelt ist, als «Humeralis-Schichten» bezeichnet und ins mittlere Séquanien gestellt. Ob auch Zone 17 von J. THURMANN, die hauptsächlich aus Mergeln und Lumachellen besteht, noch zu den Humeralis-Schichten gerechnet werden muss, lässt sich nicht entscheiden, denn Apiocrinus meriani DESOR, der hier vorkommt, wird nach J.B. GREPPIN (1870) auch noch höher angetroffen. Der jüngste Teil des Epiastastartien, 30 m mächtig und die Zonen 14-16 von J. THURMANN umschliessend, wird vom Kimeridgien überlagert und liegt somit im obern Séquanien, dem Niveau des Verena-Oolith (-Schichten) des raurachischen Faziesbezirks, mit Nerinea gosae ROEM. als Leitfossil; das Aequivalent im innern und östlichen Jura bilden die Wangener- und die Letzi-Schichten von C. MOESCH (1867a: 162) aus dem argovischen Faziesbereich. J. THURMANN (1861-64) gibt leider keine detaillierte stratigraphische Profile, sodass keine genauere Parallelisierung des heterogenen Epiastartien, durch Vergleich mit den Beschreibungen von andern Autoren, möglich ist. Die Bezeichnung Epiastartien ist, wegen ihrer nur lokalen Bedeutung, in der späteren Literatur nicht mehr verwendet worden. Eine Typ-Lokalität des Epiastartien erwähnt J. THURMANN nicht, hingegen zitiert er einige Fundstellen mit sehr reicher Fauna: Petit Fahy (1.5 km N Porrentruy), Steinbruch Bellevue (l km NNE Porrentruy, Koord. 572.740/252.750) und Steinbruch Ermont (= Hermont) 1.4 km E Porrentruy. Als Verbreitungsgebiet für das Epiastartien wird von J. THURMANN die nähere und weitere Umgebung von Porrentruy angegeben; in wie weit sich dasselbe auch auf den übrigen Berner Jura erstreckt, ist nicht deutlich ersichtlich, denn auf der von J. THURMANN (1836) veröffentlichen geologischen Karte des ehemaligen Bistums Basel (Jura bernois) wird das Epiastartien, zusammen mit dem übrigen Astartien in die «Groupe Corallien» einbezogen und das Ganze mit der Farbe des Corallien belegt. Für die Fossilführung des Epiastartien wird auf die Fossillisten von J. THURMANN (1861-64: 58-62) verwiesen. Wichtige Literatur: J. THURMANN (1830, 1836, 1861-64).

Back to top
This site or embedded third-party content uses cookies.
This site or embedded third-party content uses cookies, but we respect your 'Do Not Track' browser setting, which is currently enabled!
Close menu