Trias de Huémoz

Darstellung und Status

Farbe CMYK
(0%,0%,0%,100%)
Rang
tektonisch-begrenzte lithostratigrafische Einheit
Gebrauch
Element ist in Gebrauch
Status
informeller Begriff
Diskussion des Status

Nomenklatur

Deutsch
Huémoz-Trias
Français
Trias de Huémoz
Italiano
Triassico di Huémoz
English
Huémoz Triassic
Herkunft des Namens

Huémoz (VD)

Historische Varianten
Trias de Huémoz (Badoux 1966), Ultrahelvétique remplissant la synforme liasique = évaporites du Coula-Huémoz = Trias Coula-Huémoz = gypse du Coula-Huémoz = Trias du Coula (Badoux 1981), évaporites supérieures (Badoux 1982, Weidmann 2006)
Nomenklatorische Bemerkungen
non: zone salifère supérieure (des évaporites inférieures) !

Alter

Alter Top
  • Späte Trias
Alter Basis
  • Späte Trias

Geografie

Geographische Verbreitung
Secteur Les Ecovets et de Huémoz et Basse Gryonne entre Le Moulin Dessus et Le Coula.

Paläogeografie und Tektonik

Tektonische Einheit (bzw. Überbegriff)
Herkunftstyp
  • sedimentär

Referenzen

Neubearbeitung
Badoux Héli (1981) : Géologie des Mines de Bex - Données 1966-1980. Matériaux pour la Géologie de la Suisse, Série Géotechnique 60, 32 pages

p.22: L'Ultrahelvétique remplissant la synforme liasique L'Ultrahelvétique remplissant la synforme liasique comprend de bas en haut: 1) un niveau d'évaporites (gypse en surface, anhydrite en pronfondeur) que l'on peut appeler évaporites du Coula-Huémoz. 2) Par-dessus vient une zone complexe avec de l'Aalénien peu épais surmonté d'un mince niveau de Flysch banal. Vers le Bey de la Colice (300 m au SW du Coula) du gypse s'intercale entre ces deux formations. A cette zone se rattachent probablement les affleurements de Flysch et d'Aalénien de la Petite Gryonne entre les cotes 840 et 900 m. 3) Sur le Flysch, et occupant le coeur de la synforme, vient une nouvelle zone de gypse. Puis, plus haut, tout disparaît sous les moraines du plateau de Villars. C'est dans le Trias Coula-Huémoz que les anciens avaient ouvert les deux mines peu productives d'Entre deux Gryonne et des Vaux (voir H. BADOUX, 1966) ainsi que celle de Ste Hélène.
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